Un récit qui semblait tenir toutes ses promesses : hélas, cent fois hélas, il n’en a été rien et c’est avec une déception manifeste que j’ai fini ce roman policier. Et pourtant tout avait démarré pour le mieux : des évènements qui s’enchaînent sans temps mort, des révélations sur une mystérieuse institution nazie qui installe un mystère et une ambiance pesante, un couple de riches Hongrois pas très nets : bref, jusqu’à la moitié du récit, on y croit et on suit Nicholas (et non pas Mickael comme il est indiqué sur la quatrième de couverture, bravo !) avec grand intérêt. Malheureusement, notre héros n’en est pas vraiment un puisque ses atermoiements, ses hésitations et autres simagrées m’ont littéralement tapée sur les nerfs. Que de mimiques avant enfin d’accepter de faire ce qu’on lui demande! Quant à la fin, elle est décevante surtout après que l’auteur nous ait fait saliver d’envie en début de récit.
En définitive un récit qui, selon moi, n’a pas tenu ses promesses et c’est bien dommage car réellement, au départ, j’y croyais dur comme fer.
Ma note : 2,5/5
(Éditions Le Cherche Midi, 564 pages)
2ème sélection Elle - Octobre 2010
J'ai aimé sans plus ce livre... pourtant le sujet me plaisait, mais les personnages étaient trop antipathiques pour moi.
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