Se mettant littéralement à nu, Alexandre Jollien, écorché dans sa chair, nous livre ici ses différentes réflexions sur la joie, cet état d’esprit si difficile à maîtriser et à comprendre. Citant de multiples philosophes comme Spinoza ou Nietzsche mais aussi tirant de sa vie de tous les jours des exemples concrets et parlant, il tente de comprendre les différents états de son Moi le plus profond et de résoudre les problèmes affectifs et psychologiques qu’il rencontre. Comment s’accepter et accepter le regard des autres ? Comment vaincre ses regrets et ses déceptions, se détacher de ses illusions ? Autant de questionnements que tout un chacun a déjà subi et qu’Alexandre Jollien décortique avec discernement.
Un récit clair avec des mots simples, l’auteur use beaucoup de dérision à son sujet et sur les difficultés qu’il rencontre durant sa recherche de la vérité. Évidemment, l’auteur cite de nombreux philosophes que j’avais effleuré lors de mes cours de philosophie au lycée (je dis bien effleurer car cela n’a jamais été mon fort). Autant dire que même si le sujet s’est révélé bien intéressant, j’ai malgré tout plus survolé que lu ce récit. Que voulez-vous, la philosophie, ce n’est pas mon truc du tout.
Ma note : 2/5
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire